William Gibson, "Trilogie de la cité tentaculaire"

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William Gibson, "Trilogie de la cité tentaculaire"

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William Gibson est un écrivain américain de science-fiction et l'un des leaders du mouvement cyberpunk.
Le cyberpunk est né avec le premier roman de William Gibson en 1984 : "Neuromancien" (Neuromancer), un immense succès littéraire. Particulièrement salué (Prix Nébula, Prix Hugo et Prix Philip K. Dick), les grandes lignes du genre sont posées. Les deux romans suivants complétèrent ce qui sera sa première trilogie communément appelée "Trilogie de la cité tentaculaire" (Sprawl Trilogy) : "Comte Zéro" (Count Zero, 1986) et "Mona Lisa s'éclate" (Mona Lisa Overdrive, 1988).

Tome 1 : Neuromancien
Dans une société hypertechnologique où l'ordinateur règne en maître, Case est un pirate de génie au cerveau directement branché sur la matrice, le monde des données et programmes, où il évolue comme dans un univers réel.

« Le ciel au-dessus du port avait la couleur d'une télévision allumée sur une chaîne défunte. »

Tome 2 : Comte Zéro
L'histoire de trois êtres que tout sépare mais que le cyberespace réunit dans une course contre la montre dont l'enjeu est la domination du monde. Une aventure dans l'univers des réseaux informatiques et des biotechnologies.

« Interruption du Compte à zéro - sur ordre d'interruption, abaisser le compteur à zéro. »

Turner est le meilleur dans sa partie, les opérations d'exfiltration.

Le dernier casse informatique de Bobby, jeune et intrépide hacker new-yorkais surnommé Compte Zéro, a mal tourné et le système qu'il croyait pirater est en train de le tuer.

Tome 3 : Mona Lisa disjoncte
Après "Neuromancien" et "Comte zero", "Mona Lisa disjoncte" conclut une trilogie qui a révolutionné la science-fiction…

Une lutte sans merci contre les mégacorpos réunit trois femmes que tout sépare : Sally, ancienne mercenaire, Mona, une droguée et prostituée, et Angie, la superstar mondiale des Simstim.

« Un secrétaire vêtu de noir était venu lui apporter le fantôme, cadeau d'adieu de son père, dans une salle d'embarquement de Narita. »